samedi, juin 16, 2007

Les missiles de la paix.

Cette note m'a été inspirée par celle de notre amie Massir publiée aujourd'hui même.
On ne peut que partager sa colère, son indignation en regardant cette vidéo.
Apprendre la haine, à des enfants à cet âge est criminel, le terme n'est pas assez fort.
Ce type d'éducation n'est pas cependant le monopole des musulmans.
Regardez ces images. Elles ont été prises durant la guerre israélo-libanaise de l'été 2006 et elles ont fait le tour du monde.



15 commentaires:

Sami III a dit…

mais qu'est ce que tu raconte! on voit bien la joie sur les visages aussi bien des enfants que les adultes et l'amour dans les écris

Anonyme a dit…

allah yar7am abouka wa fouka!!!

Unknown a dit…

Tous des salauds. Tous ceux qui sèment la haine de l'autre sont de vrais salauds.

Ce qui me choque, aussi bien chez les uns que chez les autres, c'est qu'ils n'ont aucune vue à long terme.

Que souhaitent-ils pour leurs enfants?

La mort????

N'ont n'en ont-il pas marre de sacrifier leurs propres enfants???

Anonyme a dit…

comment expliquer à la méga-puissance de l'Etat d'Israël qu'il est temps d'imposer la PAix?

Seul Israël le peut... mais quand?

Anonyme a dit…

La culture de la haine dans la société israélienne: De l’enfance innocente à l’âge guerrier

Numéro spécial NO 15
ÉCHO DE L’ORIENT
Mohamed Ourya, Montréal

Par miles images que l'humanité retiendra pour longtemps, dans cette guerre israélienne contre les civils libanais (été 2006), celle des enfants israéliens, en train d'apposer leurs signatures sur des missiles israéliens. Ces mêmes missiles vont bombarder au Liban des villages entiers et surtout anéantir des centaines d'enfants libanais.

Plusieurs études israéliennes et arabes ont été faites sur l'éducation de l'enfant en Israël, et la haine nourrie contre les Arabes et les Musulmans, dans les programmes scolaires israéliens. En effet les ouvrages incitant à la haine contre les Arabes, en Israël se comptent par centaines, et accessibles à tout le monde. Ceci concerne surtout la littérature enfantine israélienne, qui implique l'enfant dans les guerres israéliennes contre son entourage arabe.

Ace sujet plusieurs exemples peuvent être donnés: Le quotidien israélien" Yedioth Ahronot" du 7 mai 2002 a publié une lettre intitulée :"Chers Soldats, tuez beaucoup d’Arabes Cette missive a été envoyée par des enfants israéliens (entre 7 et 10 ans qui ont l'habitude d'envoyer des lettres d'encouragement aux troupes israéliennes opérationnelles dans les territoires palestiniens occupés.

Ceci étant, dans un autre exemple, et dans un programme de l'école primaire, on retrouve le paragraphe suivant : 'lorsque les juifs ont commencé à construire une colonie, il y avait à côté un village peuplé d'arabes, leurs visages étaient pâles, plein de mouches qu'ils ne veulent pas chasser. Nombreux d'entre eux étaient aveugles. Les enfants étaient dévêtus, déchaussés, et leurs ventres étaient gros à cause des maladies. "

Ces deux exemples et plusieurs autres témoignent de la mentalité haineuse alimentée aux enfants par l'État hébreux. C'est cette même conclusion qu'avance Daniel Bar-Tal de l'Université de Tel Aviv, dans une étude de 1994, Bar-Tal a passé en revue 124 livres scolaires en hébreu approuvés par le Ministère de l'Éducation. Il a conclu que la majorité (des livres scolaires israéliens) connotent négativement les arabes. ".

L'éducation en Israël puise ses fondements de l'idée du peuple élu, centrale dans la religion juive, et de tous les excès et les interprétations qui entourent cette thèse. En Israël, l'idée du peuple élu concerne les juifs de la société israélienne et exclue les autres composantes surtout les arabes israéliens.

En fait, depuis la création de l’État d’Israël en 1949, la priorité est donnée aux institutions éducatives qui nourrissent la même haine envers les arabes. Ce sentiment est considéré comme aussi important que la militarisation de la société israélienne. Ainsi n'est-il point étonnant de retrouver dans les manuels scolaires des stéréotypes négatifs, insultant les Arabes et les décrivant comme bornés, inférieurs, fatalistes, improductif et apathiques".

Ou les considérant comme "Tribaux, vindicatif, bizarres, pauvres, malades, sales, bruyants, de peau colorée" et encore "ils incendient, assassinent détruisent et se mettent facilement en colère. (Cité par Maureen Meehan dans son article [Les manuels scolaires et la littérature enfantine israéliens encouragent le racisme et la haine contre les Palestiniens et les Arabes] "Washington Report pour les Affaires du Proche Orient" de Septembre 1999).Ce genre d'éducation est un autre pilier de la défense nationale israélienne. Ce qui a poussé l'ex premier ministre israélien Levi Eshkol (1895-1969) à stipuler que nous (l'État d'Israël) ne voulons pas construire des écoles pour des enfants juifs, mais plutôt une éducation juive. "

Par ailleurs, plusieurs chercheurs considèrent que les références principales dans les programmes scolaires israéliens, se retrouvent dans les livres de la religion juive (Pentateuque, les Prophètes les Hagiographes, Midrach Talmud... etc.). Et il n'est pas étonnant que des versets de l'Ancien Testament tels (Deutéronome 20, 1014): "Quand tu t'approcheras d'une ville pour I’attaquer, tu lui offriras la paix. Si elle accepte la paix et t’ouvre ses Portes, tout le peuple qui s’y trouvera te sera tributaire et asservi. Si elle n’accepte pas la paix avec toi et qu'elle veuille te faire la guerre, alors tu l'assiégeras. Et après que l’Éternel, ton Dieu, l'aura livrée entre tes mains, tu en feras passer tous les mâles au fil de l'épée. Mais tu prendras pour toi les femmes, les enfants, le bétail, tout ce qui sera dans la ville, tout son butin, et tu mangeras les dépouilles de tes ennemis que l’Éternel, ton Dieu, t'aura livrés", sont largement retenus par les jeunes Israéliens et reviennent comme leitmotiv dans les programmes scolaires.

Les livres des pères fondateurs du sionisme au 19ème siècle, tel Theodor Herzl(1860-1904), Aaron David Gordon (1856-1922) et Vladimir Jabotinski (1880-1940),aussi, contribuent dans les programmes scolaires en Israël, à attiser la haine du juif envers les Arabes. Dans cette perspective le leader du sionisme religieux, Meir Bar lian (1880-1949) a dit à ce sujet : "l'esprit du Talmud et la connaissance de toutes ses lois, doivent faire partie de l'enseignement de chaque juif éduqué, même si cela n'entre pas dans son champs de spécialisation. C'est comme les mathématiques et la physique’.

Ceci explique en grande partie la solidarité du peuple juif en Israël, avec son armée dans cette guerre contre le Liban et dans d'autres depuis 1949.

Ceci va atteindre son point culminant, avec la Loi sur l'éducation officielle de 1953 qui prévoyait des systèmes éducatifs indépendants des établissements laïcs et des établissements religieux , mais qui dans les faits a favorisé des systèmes éducatifs différents : l'un pour les élèves juifs et un autre pour les élèves arabes. La loi de 1953 stipule dans son article 2 que l'éducation dans l'État d'Israël est basée sur «les valeurs de la culture 'juive», «l'amour de la patrie et la fidélité de l'État et du peuple juif>.

Dès le début de 1'instauration d'Israël, le but des pères fondateurs était de fusionner et surtout transcender les divergences ethnoculturelles des communautés juives venues s'installer en Israël. La seule issue était de créer un réseau d'éducation, qui favorise une intégration réussie surtout pour les enfants. Ce système éducatif continue à constituer le cadre intellectuel général pour les générations juives, depuis les années 1950.

Il se base sur plusieurs postulats qui s'avèrent les vecteurs même de la politique étrangère israélienne: la peur de 1’autre jusqu'à faire la guerre contre lui pour assurer la paix pour Israël, l'animosité contre les Arabes, le complexe de supériorité, qui hante l'imaginaire collectif israélien, et surtout l'idée qu'Israël est le seul pays démocratique au Moyen-Orient.

Ainsi tous les massacres commis par les israéliens dans les pays arabes, ne sont en fait qu'un résultat logiquement attendu, de cette culture politique et éducative, vecteur principal de la société israélienne.

À titre de conclusion, et loin de tout pessimisme réducteur, on peut dire que si les généraux israéliens, tristement célèbres dans le monde arabe par leurs massacres des populations, n’étaient guère élevés dans cette atmosphère et selon des programmes d’agressivité et de rancune, alors avec les nouvelles générations, nourries dans les sérails de la haine envers les peuples arabes, le pire reste à envisager

Anonyme a dit…

ISRAEL,
AUJOURD'HUI

a) Qu'est-ce qu'un « État juif »?
La majorité des écrits concernant Israël et l'essentiel de ce qui se dit à son propos hors de ses frontières souffrent d'une lacune fondamentale: ils ignorent le fait que l'Etat d'Israël n'est - ni en principe ni en fait - un Etat israélien, ni Etat des Israéliens; c'est un Etat juif .Qu'est ce que cela veut dire, pratiquement?
Commençons par les statistiques officielles: l'Etat d'Israël publie tous les ans un Annuaire statistique d'Israël. Dans tout cet annuaire il est presque impossible de trouver des statistiques concernant les Israéliens; on ne trouve que celles concernant les Juifs et les non-Juifs. Ainsi, par exemple, il n'existe pas en Israël de statistiques sur la mortalité des personnes, mais seulement des statistiques sur la mortalité des « Juifs » et des « non-juifs » .Ainsi, par exemple, lorsque l'Etat d'Israël enquête officiellement sur la mortalité infantile à l'intérieur de ses frontières, il n'enquête pas sur la mortalité des enfants israéliens, car il n'existe officiellement en Israël aucun enfant « israélien » ; il y a des nourrissons juifs et des nourrissons non juifs, qui, même statistiquement, ne sont jamais associés. Et si, dans d'autres cas on les associe, on n'écrit pas « Israéliens », mais « Total », comme s'il s'agissait d'additionner des espèces différentes.
Non seulement il n'existe pas d'Israéliens en Israël, mais les animaux et les plantes elles-mêmes sont divisés en juifs et non-juifs. Officiellement l'Etat d'Israël recense et classifie les vaches et les moutons, les tomates ou le blé en « juifs » et « non-juifs ». La définition la plus concrète de l'Etat d'Israël en tant qu'Etat juif serait donc qu'il s'agit d'un Etat où non seulement on recense chaque tomate afin de la classifier en tomate juive et non-juive, mais encore où le but suprême de l'Etat est de permettre une telle classification. des personnes jusqu'aux tomates, de façon absolue et définitive.
Les statistiques, cependant, sont le reflet d'une certaine réalité. Quelle est la réalité que ces statistiques expriment en ce qui concerne cette caste définie comme les « non-Juifs » au sein de l'Etat Juif? Que ressentent-ils, de quoi souffrent-ils, et quel est leur avenir?
Tout d'abord, comme dans le cas de toute minorité persécutée, où les non-juifs sont-ils autorisés à vivre au sein de l'Etat juif? La réponse est que, dans la plupart des lieux, ils n'ont purement et simplement pas le droit de vivre. La majorité des terres en Israël appartiennent à l'Etat, qui les a soumis aux règlements interdisant à un non-Juif d'y vivre. Il lui est interdit d'y construire une maison, il lui est interdit d'y louer un appartement, il lui est interdit d'y ouvrir une affaire bref il lui est interdit d'y vivre. Cela est d'autant plus cruel que la majorité des terres sur lesquelles s'exercent ces lois ségrégationnistes appartiennent à ces mêmes Palestiniens Qu'on définit officiellement en Israël comme non-Juifs, et leur ont été arrachés. Ils sont ainsi privés, même en tant que citoyens de l' « Etat juif », du droit de jouir des terres de « leur » Etat. Ainsi, il existe en Israël des villes entières -Carmiel, Nazareth-Illith(1) , Hatzor, Arad, Mitzpeh-Ramon et d'autres - où la loi interdit formellement aux non-Juifs d'habiter. Là où la majorité des terres est propriété privée, comme à Jérusalem, Tel-Aviv ou Haïfa, l' « Etat juif » fait ce qu'il peut, et ne construit que des quartiers ségrégués, où les « non-Juifs » n'ont légalement pas le droit d'habiter .
L'exemple le plus frappant est celui de la Jérusalem « unifiée » .Depuis le moment de sa « réunification » , en 1967, de nombreux terrains y ont été confisqués, presque tous appartenant à des Palestiniens; sur ces terrains l'Etat d'Israël a construit de nouveaux quartiers et « grands ensembles » d'habitation. Ces quartiers sont-ils destinés à l'habitation d'être humains? Sont-ils destinés aux habitants de la Jérusalem « unifiée » ? Non! Ils sont officiellement destinés et légalement réservés aux Juifs et seulement aux Juifs. Un résident de Jérusalem qui n'est pas juif, un citoyen israélien qui n'est pas juif peut être membre du Parlement, officier de police ou soldat, mais il ne peut pas habiter à Ramath-Eshkol (2).
Un Français de Paris, en revanche, qui vient à Jérusalem et .fait la preuve que sa mère, sa grand-mère, la mère et la grand-mère de sa grand-mère étaient juives, ou qui se convertit chez un rabbin orthodoxe reconnu, sera non seulement autorisé à habiter à Ramath-Eshkol, mais pourra également bénéficier d'un gros prêt, d'une exemption de frais de douane et d'impôts sur le revenu pendant plu- sieurs années et d'autres subventions matérielles, dont le total représente une somme considérable. Tout cela, bien évidemment, se fait au nez et à la barbe des « non-Juifs » résidant sur les lieux, citoyens de l'Etat juif « démocratique » ! On peut produire de tels exemples pour tous les aspects de la vie en Israël, que l'on peut résumer par un principe simple : Dans l'Etat juif, seuls les Juifs sont considérés comme des humains, les non-Juifs ont un statut d'animaux. Des animaux parfois utiles, parfois nuisibles, et même dangereux. Il y a des gens qui pensent qu'il ne faut pas se comporter cruellement envers les animaux et les non-Juifs, et d'autres qui pensent que cela n'a pas d'importance. Mais qui-conque croit au principe 'de l'Etat juif convient également que le non-Juif dans l'Etat juif n'est pas un Homme (selon la définition kantienne: n'est pas « une fin en soi » ), mais seulement une fonction de l'intérêt juif.
Aussi trouvons-nous en Israël tout un langage composé ,de doubles concepts en hébreu, un pour les Juifs et un pour les non-Juifs, concepts dont certains sont difficilement traduisibles en d'autres langues. Seuls les Juifs « s'installent » -le mot hébreu a des connotations positives. Le gouvernement de l'Etat juif, par exemple, a décidé de « judaïser » la Galilée - c'est-à-dire de confisquer, d'une manière ou d'une autre, des terres appartenant à des non-Juifs afin de donner à la région un caractère plus juif. La terre en Israël est considérée comme « nationale » non pas si elle est israélienne, mais si elle est « juive » ; des terres appartenant à des non-Juifs sont considérées comme des terres non encore « sauvées ». Faire passer ces terres aux mains de Juifs, c'est procéder à leur « rédemption ». Il est intéressant de noter que sur ce point il n'y a aucune différence entre la droite et la gauche, ou plus exactement entre la droite et la « gauche » sioniste. Cette dernière a toujours souscrit à l'ensemble des principes racistes ci-dessus énumérés. Tous les « socialistes » sionistes acceptent la théorie selon laquelle la terre est « sauvée » lorsqu'elle passe de mains non juives aux mains juives. Le fait que cette terre passe aux mains d'un capitaliste juif ou d'un ouvrier juif n'a pas d'importance pour ce qui est de sa « rédemption » .De la même manière, le fait que cette terre ait été « sauvée » des mains d'un pauvre paysan ou d'un riche propriétaire terrien n'a pas non plus d'importance. L'important est que la terre soit « sauvée » des mains d'un non-Juif et qu'elle passe aux mains d'un Juif.
Il est nécessaire de se rappeler que ce processus est théoriquement infini. En ce sens, la théorie sioniste - qui est la théorie de l'Etat juif - se distingue négativement de ce qui a été infligé aux Indiens d'Amérique, ou de ce qui est infligé aux Noirs d'Amerique du Sud. Aux Etats-Unis on a ménagé des réserves, et en Afrique du Sud des « Bantustans », tandis que la théorie sioniste, non seulement proclame son intention, mais également fait tout en son pouvoir afin de prendre tout, d'accaparer jusqu'au dernier pouce du terrain détenu par des non-Juifs. Jusqu'à ce jour, les agents du gouvernement israélien, les envoyés de l'organisation sioniste sillonnent les villages palestiniens d'Israël, y compris ceux des villages dont la majorité des terres a déjà été confisquée au profit de la colonisation d' « installation » juive, et exercent diverses pressions - évidemment avec l'aide de la police secrète et de tous les autres organes du pouvoir - sur les villageois, afin de recevoir, d'échanger, d'acheter, en un mot de « sauver » les terres détenues par des non-Juifs. Jus qu'à ce jour on enseigne dans les jardins d'enfants et les écoles en Israël que les terres demandent à être « sauvées » .Le fait que ces terres soient « sauvées » des mains d' « Israéliens » (c'est-à-dire de citoyens de l'Etat d'Israël) ne change rien! Cela ne fait que prouver une fois encore qu'il n'y a pas d' « Israéliens » en Israël.

(1). Nazareth-Illith, ou Nazareth-Ia-Haute, « ville de développement » entièrement juive créée juste à côté de la ville arabe de Nazareth, en Galilée.
(2). Ramath-Eshkol, un des nouveaux « grands ensembles ~ construits sur des terres confisquées: dans la banlieue orientale de la Jérusalem arabe.

Téméraire a dit…

Tiens, je pensais que s'était uniquement nous les arabo-musulmans qui sont champions de ses manières. C'est ce qu'on m'a fait toujours comprendre par les médias.

CITIZEN a dit…

@ tous : Excusez moi. J'ai éffacé tous les commentaires qui n'ont absolument rien à avoir avec le sujet de la note. Il s'agit d'un débat d'idées et non pas d'un ring pour offenses à caratère personnel.
Merci pour votre compréhension.

Unknown a dit…

Merci.
C'est exactement cela: un débat d'idées.
Merci encore.

Anonyme a dit…

@massir: Smak sur la f droite et smak sur la f gauche . Bon ceci est un message d'amour et par conséquent ne peut être tenu pour une invitation à la bagarre et n'est pas non plus une offense . Il n'a donc pas lieu d'être effacé . Enfin c'est tout du moins ce que je crois .

Anonyme a dit…

@citizen
tu as efface un commentaire qui etait loin d'etre offensant .tant pis c'est finalement le reflexe de classe(الطّبقي)qui a joue .vous vous serrez les coudes!mais ne vous en faites pas
j'ai le temps.j'ai 33 ans!!!

CITIZEN a dit…

@ ahmed
Reflexe de classe????!!!!
G dit que je n'efface que les commentaires qui sont hors sujet ou qui comportent des offenses personnelles.
Moi et Massir nous nous connaissons même pas. Nous avons, j'en suis sur des avis divergeants sur 36000 questions.
Ceci ne dois pas nous empêcher de manifester mutuellement le plus grand respect et d'échanger des propos courtois. Chacun devra défendre ses position par des arguments et non pas par de raccourcis genre "hezb issrael" que tu as utilisé et à cause duquel j'ai supprimé ton commentaire.

PS : surtout oublie cette fable de reflexe de classe, ça ne me ressemble pas.
Mes amitiés.

saikiki a dit…

la stupidité est véritalement sans limite. Les enfants n'ont rien à faire là et je trouve très coupable l'attitude des parents qui par cet intermédiaire apprennent et atisent la haine et le mépris à leurs enfants.

CITIZEN a dit…

@ saikiki : inculquer aux enfant la haine est encore plus criminel que faire la guerre.

Anonyme a dit…

Ce sont des obus d'artillerie, sûrement de 155mm. Pas des missiles.