Les parlementaires libanais sont en effet invités à choisir un successeur à Émile Lahoud dont le mandat s'achève le 24 novembre.
Faute de pouvoir parvenir à un consensus sur la personnalité qui devra occuper le palais de Baabda pour les six années à venir, l'opposition continue à menacer de boycotter le scrutin, et de considérer comme anticonstitutionnelle toute élection qui pourrait avoir lieu en l'absence de ces députés, cas dans lequel, le quorum des 2/3 qu'elle estime nécessaire ne sera pas atteint.
Les députés de la majorité refutent cette thèse et considèrent que selon la Constitution, ce quorum est nécessaire uniquement pour le premier tour, la présence d'une majorité absolue étant suffisante pour les tours suivants.
Deux élément semblent être certains :
Faute de pouvoir parvenir à un consensus sur la personnalité qui devra occuper le palais de Baabda pour les six années à venir, l'opposition continue à menacer de boycotter le scrutin, et de considérer comme anticonstitutionnelle toute élection qui pourrait avoir lieu en l'absence de ces députés, cas dans lequel, le quorum des 2/3 qu'elle estime nécessaire ne sera pas atteint.
Les députés de la majorité refutent cette thèse et considèrent que selon la Constitution, ce quorum est nécessaire uniquement pour le premier tour, la présence d'une majorité absolue étant suffisante pour les tours suivants.
Deux élément semblent être certains :
- tout vide institutionnel expose ce pays aux équilibres confessionnels fragiles à tous les dangers.
- toute dégradation de la situation au Liban, une confrontation Sunnites-Chiites en particulier risque de faire tache d'huile dans la région.
1 commentaire:
eeeeeeh oui. c'est une semaine décisive..mais je suis très pessimiste car je ne crois pas que l'opposition libanaise est sérieuse..je crois que nous aurons un président de 50% + 1...
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