lundi, décembre 31, 2007
jeudi, décembre 27, 2007
Liban : Le cas du Général Aoun.
J'avais déjà parlé du général Michel Aoun dans une note précédente. Si je reviens à la charge aujourd'hui, c'est pour illustrer par une vidéo les contradictions de ce leader. Changer de positions est assez habituel chez un homme politique. Prêcher une chose et son contraire relève cependant du domaine de la Psychiatrie.
mercredi, décembre 26, 2007
lundi, décembre 24, 2007
Le 24 décembre 2003 : Deuxième bébé Citizen.
Un peu moins de 4 ans après Aziz, c'est Ferioula qui est venue apporter sa contribution à notre bonheur.
Le 24 juillet 2006.
samedi, décembre 22, 2007
jeudi, décembre 20, 2007
mardi, décembre 18, 2007
lundi, décembre 17, 2007
Pornographie sur le Web. Quelques chiffres.
4,2 millions sites pornographiques affichant 420 millions de pages sont répertoriés à ce jour dans le monde, soit 12% du contenu total du Web.
Chaque jour, les différents moteurs de recherche enregistrent 68 millions de requêtes de sujets à caractère pornographique, soit 25% du total des requêtes sur ces moteurs de recherche.
2,5 milliards d'e-mails à contenu pornographique sont échangés quotidiennement (8% du total des e-mails).
1,5 milliards de téléchargements mensuels, soit 35% du total concerne le contenu pornographique.
La pornographie génère 4,9 milliards de dollars de ventes mensuelles sur Internet.
Chaque seconde, 3075,64 $ sont dépensés dans la pornographie.
Chaque seconde, 28258 internautes affichent une page à contenu pornographique.
Chaque seconde, 372 internautes tapent des termes de recherche pornographique dans les moteurs de recherche.
Chaque 39 minutes : une nouvelle vidéo pornographiques est en train de naître aux seuls États-Unis.
Source et plus de détails.
Chaque jour, les différents moteurs de recherche enregistrent 68 millions de requêtes de sujets à caractère pornographique, soit 25% du total des requêtes sur ces moteurs de recherche.
2,5 milliards d'e-mails à contenu pornographique sont échangés quotidiennement (8% du total des e-mails).
1,5 milliards de téléchargements mensuels, soit 35% du total concerne le contenu pornographique.
La pornographie génère 4,9 milliards de dollars de ventes mensuelles sur Internet.
Chaque seconde, 3075,64 $ sont dépensés dans la pornographie.
Chaque seconde, 28258 internautes affichent une page à contenu pornographique.
Chaque seconde, 372 internautes tapent des termes de recherche pornographique dans les moteurs de recherche.
Chaque 39 minutes : une nouvelle vidéo pornographiques est en train de naître aux seuls États-Unis.
Source et plus de détails.
jeudi, décembre 13, 2007
mercredi, décembre 12, 2007
Le Sexe et la Vue.
lundi, décembre 10, 2007
IRAN - USA : Le paradoxe.
La guerre américaine que les initiateurs ont voulu illimitée dans le temps et dans l'espace, et qui avait comme objectif déclaré l'éradication du terrorisme a eu à ce jour l'effet inverse. L'opinion publique des pays arabo-musulmans s'est radicalisée. Le monde n'a jamais été moins sûr et la menace terroriste n'a jamais été plus grande.
L'autre grand paradoxe de la politique américaine sous l'administration Bush est d'avoir débarrassé l’Iran, autre pilier de "l'Axe du Mal" et pire ennemi des États Unis" de ses deux grands rivaux dans la région : le régime baasiste de Saddam Houssein en Irak et celui des Talibans en Afghanistan.
Je ne connais pas de précédents dans l'histoire où un rival aura rendu autant de services à son principal ennemi. "Nous avions trois ennemis dans ce monde, l'Amérique "le Grand Satan", les Talibans et Saddam Houssein. L'ironie, c'est que le premier nous a débarassé des deux autre".
Ces propos ont été tenus par un diplomate iranien en 2003 après l'invasion anglo-américaine de l'Irak.
La nouvelle équation géostratégique ainsi créee a fait de l'Iran l'acteur principal de la région et l'élément incontourbale dans le règlement de tout conflit.
Les scènes irakienne, libanaise et palestinienne sont passées de facto sous son contrôle direct ce qui n'est pas pour plaire aux grands pays arabe de la région, Arabie Saoudite en tête.
Les conférences récemment tenues aux États Unis (Annapolis) et à Bahrein ne seraient probablement rien d'autre qu'une tentative américaine de rectifier le tir et d'isoler l'Iran.
L'autre grand paradoxe de la politique américaine sous l'administration Bush est d'avoir débarrassé l’Iran, autre pilier de "l'Axe du Mal" et pire ennemi des États Unis" de ses deux grands rivaux dans la région : le régime baasiste de Saddam Houssein en Irak et celui des Talibans en Afghanistan.
Je ne connais pas de précédents dans l'histoire où un rival aura rendu autant de services à son principal ennemi. "Nous avions trois ennemis dans ce monde, l'Amérique "le Grand Satan", les Talibans et Saddam Houssein. L'ironie, c'est que le premier nous a débarassé des deux autre".
Ces propos ont été tenus par un diplomate iranien en 2003 après l'invasion anglo-américaine de l'Irak.
La nouvelle équation géostratégique ainsi créee a fait de l'Iran l'acteur principal de la région et l'élément incontourbale dans le règlement de tout conflit.
Les scènes irakienne, libanaise et palestinienne sont passées de facto sous son contrôle direct ce qui n'est pas pour plaire aux grands pays arabe de la région, Arabie Saoudite en tête.
Les conférences récemment tenues aux États Unis (Annapolis) et à Bahrein ne seraient probablement rien d'autre qu'une tentative américaine de rectifier le tir et d'isoler l'Iran.
mercredi, décembre 05, 2007
Hached tel que je l'ai connu.
Je ne l'ai vu pour la première fois qu'en 1949, à mon retour d'Egypte. Nous nous sommes rencontrés de loin en loin, au hasard de nos réunions publiques, de nos tournées de propagande ou lorsque j'étais parfois invité dans le local de l'UGTT à l'occasion de quelques festivités.
Chacun avait ses responsabilités, qui étaient lourdes ; chacun travaillait dans le domaine et sur le plan qui lui était propre, mais avec toujours l'idée vivante que les deux organisations UGTT et Néo-Destour sont étroitement solidaires et doivent marcher la main dans la main.
Ce n'est que durant mon séjour en Amérique, au mois de septembre 1951, que je pus le voir de près. C'est à San Francisco, pendant le congrès annuel de l'AFL (American Federation of Labour), puis à Washington, que nous avons vécu et travaillé ensemble, que nous avons eu à débattre et à résoudre de graves problèmes de tactique et de diplomatie.
Mais, durant cette courte période, j'ai pu le connaître à fond ; j'ai compris le secret de son prestige et j'ai été littéralement conquis par le charme de sa personne, ses grands yeux bleus, son rire si franc, son intelligence lumineuse et son caractère attachant(...)
J'avoue que de ce mois de septembre passé avec Farhat Hached en Amérique, j'ai gardé une impression inoubliable. Cet homme extraordinaire joignait à la flamme du pionnier et à l'enthousiasme du militant la pondération et le réalisme de l'homme d'Etat, le sens des responsabilités du chef et la souplesse du diplomate.
J'étais tranquille ! La cause du prolétariat tunisien était en de bonnes mains. Il avait trouvé en ce fils du peuple l'homme prédestiné qui avait la volonté et les moyens de le conduire à la victoire.
Depuis, il a fallu nous quitter pour reprendre chacun son chemin. Je l'ai revu au mois de janvier 1952. A Tabarka, où j'avais été "éloigné". Il était accompagné de Hédi Nouira et avait fait le voyage au volant de sa petite Simca, celle-là même dans laquelle il devait recevoir la première rafale de mitraillette, en ce triste matin du 5 décembre de la même année.
Au moment de me faire ses adieux, il m'a affirmé sa confiance dans la victoire : "Nous gagnerons la dernière manche, ne cessait-il de me répéter ; ne vous faites pas de mauvais sang, cette épreuve de force imposée au peuple n'aura pas été inutile si elle doit convaincre les derniers tenants du colonialisme en France que rien ne peut se faire en Tunisie par la force.
Les démocrates de France et du monde ne nous abandonneront pas et, tôt ou tard, ils feront pencher la balance en faveur de la justice et de la liberté. Nous tiendrons dix ans, vingt ans s'il le faut ; nous tiendrons le dernier quart d'heure et la grande route de la libération nationale sera définitivement déblayée. Pensez surtout à votre santé, le pays en aura bientôt grand besoin".
C'est hélas ! la sienne qui nous manquera au jour de la victoire.
Très ému, je l'ai accompagné à pied jusqu'au pont qui enjambe l'oued El Kébir à la sortie de Tabarka. Je le vois encore, au volant de son auto, me faire de la main un signe qui fut son dernier adieu. Je ne devais plus le revoir.
Mais j'ai reçu plus tard, beaucoup plus tard, l'expression de sa pensée. Tous ceux qui ont connu les prisons ou les camps de concentration savent par expérience qu'aucune barrière n'est si imperméable qu'elle ne laisse au prisonnier un contact avec l'extérieur.
Un matin de septembre 1952, dans cette île de La Galite où m'avait jeté le caprice de M. de Hauteclocque, une providence inespérée m'a apporté un petit paquet soigneusement ficelé. Je l'ouvre : quelle ne fut pas ma surprise d'y trouver une série de documents relativement récents (rapport de la Commission des 40, lettre d'envoi de SA le Bey, réponse du Président de la République, rapport Mitterrand, une motion de la CISL) et tout à fait à la fin un petit papier écrit en français de la main de Ferhat avec ces mots : "Nous nous sommes imposé comme devise : vigilance encore et toujours... et fermeté" Et dans la marge, en arabe : "En avant toujours, l'avenir est à nous. Signé : FH".
Il ne fait aucun doute que cette devise est restée celle du peuple tunisien, et en particulier celle des compagnons de Farhat Hached qui ont aujourd'hui l'insigne honneur de continuer son œuvre et qui la mèneront à bonne fin.
Habib Bourguiba.
Source.
Chacun avait ses responsabilités, qui étaient lourdes ; chacun travaillait dans le domaine et sur le plan qui lui était propre, mais avec toujours l'idée vivante que les deux organisations UGTT et Néo-Destour sont étroitement solidaires et doivent marcher la main dans la main.
Ce n'est que durant mon séjour en Amérique, au mois de septembre 1951, que je pus le voir de près. C'est à San Francisco, pendant le congrès annuel de l'AFL (American Federation of Labour), puis à Washington, que nous avons vécu et travaillé ensemble, que nous avons eu à débattre et à résoudre de graves problèmes de tactique et de diplomatie.
Mais, durant cette courte période, j'ai pu le connaître à fond ; j'ai compris le secret de son prestige et j'ai été littéralement conquis par le charme de sa personne, ses grands yeux bleus, son rire si franc, son intelligence lumineuse et son caractère attachant(...)
J'avoue que de ce mois de septembre passé avec Farhat Hached en Amérique, j'ai gardé une impression inoubliable. Cet homme extraordinaire joignait à la flamme du pionnier et à l'enthousiasme du militant la pondération et le réalisme de l'homme d'Etat, le sens des responsabilités du chef et la souplesse du diplomate.
J'étais tranquille ! La cause du prolétariat tunisien était en de bonnes mains. Il avait trouvé en ce fils du peuple l'homme prédestiné qui avait la volonté et les moyens de le conduire à la victoire.
Depuis, il a fallu nous quitter pour reprendre chacun son chemin. Je l'ai revu au mois de janvier 1952. A Tabarka, où j'avais été "éloigné". Il était accompagné de Hédi Nouira et avait fait le voyage au volant de sa petite Simca, celle-là même dans laquelle il devait recevoir la première rafale de mitraillette, en ce triste matin du 5 décembre de la même année.
Au moment de me faire ses adieux, il m'a affirmé sa confiance dans la victoire : "Nous gagnerons la dernière manche, ne cessait-il de me répéter ; ne vous faites pas de mauvais sang, cette épreuve de force imposée au peuple n'aura pas été inutile si elle doit convaincre les derniers tenants du colonialisme en France que rien ne peut se faire en Tunisie par la force.
Les démocrates de France et du monde ne nous abandonneront pas et, tôt ou tard, ils feront pencher la balance en faveur de la justice et de la liberté. Nous tiendrons dix ans, vingt ans s'il le faut ; nous tiendrons le dernier quart d'heure et la grande route de la libération nationale sera définitivement déblayée. Pensez surtout à votre santé, le pays en aura bientôt grand besoin".
C'est hélas ! la sienne qui nous manquera au jour de la victoire.
Très ému, je l'ai accompagné à pied jusqu'au pont qui enjambe l'oued El Kébir à la sortie de Tabarka. Je le vois encore, au volant de son auto, me faire de la main un signe qui fut son dernier adieu. Je ne devais plus le revoir.
Mais j'ai reçu plus tard, beaucoup plus tard, l'expression de sa pensée. Tous ceux qui ont connu les prisons ou les camps de concentration savent par expérience qu'aucune barrière n'est si imperméable qu'elle ne laisse au prisonnier un contact avec l'extérieur.
Un matin de septembre 1952, dans cette île de La Galite où m'avait jeté le caprice de M. de Hauteclocque, une providence inespérée m'a apporté un petit paquet soigneusement ficelé. Je l'ouvre : quelle ne fut pas ma surprise d'y trouver une série de documents relativement récents (rapport de la Commission des 40, lettre d'envoi de SA le Bey, réponse du Président de la République, rapport Mitterrand, une motion de la CISL) et tout à fait à la fin un petit papier écrit en français de la main de Ferhat avec ces mots : "Nous nous sommes imposé comme devise : vigilance encore et toujours... et fermeté" Et dans la marge, en arabe : "En avant toujours, l'avenir est à nous. Signé : FH".
Il ne fait aucun doute que cette devise est restée celle du peuple tunisien, et en particulier celle des compagnons de Farhat Hached qui ont aujourd'hui l'insigne honneur de continuer son œuvre et qui la mèneront à bonne fin.
Habib Bourguiba.
Source.
Libellés :
Personnages historiques,
Textes choisis,
Tunisie et Maghreb
Le 5 décembre 1952 : Assassinat de Farhat Hached.
Principale figure du syndicalisme tunisien et leader des plus populaires de la lutte anti-coloniale, Farhat hached, secrétaire général de l'Union Générale Tunisienne du Travail (UGTT) incarnait la convergence entre mouvement syndicaliste et mouvement de libération nationale.
Le 5 décembre 1952 au matin, il fut abattu par balles sur la route de Radès, dans la banlieue sud de Tunis.
L'assassinat a été attribué à l'organisation terroriste française "La Main Rouge". Véritable escadron de la mort composé de gendarmes et de colons, cette mystérieuse organisation agissait selon toute vraisemblance sous les ordres des autorités coloniales.
L'enquête qui s'ensuivit a consisté en une entreprise de brouillage des pistes et de destruction systématique d'indices.
Ce qui ressemble fortement à un crime d’État est à ce jour non élucidé.
Le 5 décembre 1952 au matin, il fut abattu par balles sur la route de Radès, dans la banlieue sud de Tunis.
L'assassinat a été attribué à l'organisation terroriste française "La Main Rouge". Véritable escadron de la mort composé de gendarmes et de colons, cette mystérieuse organisation agissait selon toute vraisemblance sous les ordres des autorités coloniales.
L'enquête qui s'ensuivit a consisté en une entreprise de brouillage des pistes et de destruction systématique d'indices.
Ce qui ressemble fortement à un crime d’État est à ce jour non élucidé.
mardi, décembre 04, 2007
Terrible Viagra .
Une femme d'un certain âge se présente chez un sexologue dans le but d'animer un peu sa morne vie sexuelle.
Le sexologue la conseille :
- Vous pourriez essayer le Viagra ! Vous pouvez en mettre subtilement dans son café par exemple, il ne s'en rendra même pas compte, et vous verrez le résultat instantanément !
- Je veux bien essayer.
La dame revient une semaine plus tard.
- Alors, est-ce que mon conseil a fonctionné ?
- Oh docteur, ce fut terrible ...
- Pourquoi, que s'est-il passé ?
- J'ai fait comme vous m'avez dit. J'en ai mis dans son café, et cela a eu un effet instantané.
Il a bondi de sa chaise, du revers de son bras il a balayé tout ce qu'il y avait sur la table, il m'a attirée vers lui en arrachant mes vêtements, et il m'a fait l'amour comme jamais il ne l'avait fait ! C'était terrible !
- Pourquoi dites-vous que c'était terrible ?
- Parce que, ce fut tellement intense que j'ai eu le plus gros orgasme depuis au moins 20 ans!
- Bah et alors, c'est formidable, non ?
- C'était terrible, je vous dis, si vous aviez vu le monde qu'il y avait dans le restaurant !
Le sexologue la conseille :
- Vous pourriez essayer le Viagra ! Vous pouvez en mettre subtilement dans son café par exemple, il ne s'en rendra même pas compte, et vous verrez le résultat instantanément !
- Je veux bien essayer.
La dame revient une semaine plus tard.
- Alors, est-ce que mon conseil a fonctionné ?
- Oh docteur, ce fut terrible ...
- Pourquoi, que s'est-il passé ?
- J'ai fait comme vous m'avez dit. J'en ai mis dans son café, et cela a eu un effet instantané.
Il a bondi de sa chaise, du revers de son bras il a balayé tout ce qu'il y avait sur la table, il m'a attirée vers lui en arrachant mes vêtements, et il m'a fait l'amour comme jamais il ne l'avait fait ! C'était terrible !
- Pourquoi dites-vous que c'était terrible ?
- Parce que, ce fut tellement intense que j'ai eu le plus gros orgasme depuis au moins 20 ans!
- Bah et alors, c'est formidable, non ?
- C'était terrible, je vous dis, si vous aviez vu le monde qu'il y avait dans le restaurant !
lundi, décembre 03, 2007
Liban : un général peut en cacher un autre.
On n'est pas à un paradoxe près au Pays du Cèdre. Et l'un des paradoxes de la vie libanaise est que le leader le plus populaire parmi la communauté maronite voit souvent ses chances de parvenir au poste de Président de la République fondre du fait même de sa popularité.
Le général Michel Aoun
Le général Michel Aoun qui s'est allié tour à tour avec les antisyriens puis avec les prosyriens a du jeter l'éponge. N'ayant eu qu'un objectif depuis son retour au pays en mai 2005, celui de devenir, enfin, Président de la République Libanaise, Aoun s'est rendu à l'évidence de l'impossibilité de sa quête. Il soutient désormais la candidature d'un autre général, Michel Sleiman, qui sera sauf développement de dernière minute le prochain occupant du palais de Baabda pour les six année à venir.
Le consensus étant la règle de ce scrutin, le candidat qui est élu par la chambre des députés est celui sur lequel toutes les parties ou du moins une majorité écrasante parmi celle-ci tombe d'accord. Le général Aoun, bien que très populaire au sein des communauté chrétienne et chiite (du fait de son alliance avec le Hezbollah) ne répond pas à cette exigence qu'est le consensus.
Quelques définitions.
J'ai reçu d'un ami ce message contenant quelques définitions. Je me permets de les partager avec vous.
- AMI - AMIE : Se dit d'une personne du sexe opposé qui a ce "Je ne sais quoi" qui élimine toute envie de coucher avec elle.
- AMOUR : Mot en 5 lettres, trois voyelles, deux consonnes et deux idiots.
- AUTO-STOPPEUSE : Jeune femme généralement jolie et court vêtue qui se trouve sur votre route quand vous êtes avec votre copine.
- CONFIANCE : Liberté que l'on accorde à une personne pour qu'elle fasse des bêtises.
- CONSULTANT : Celui qui retire la montre de ton poignet, te donne l'heure et te fait payer le service.
- DANSE : Expression verticale d'un désir horizontal.
- DÉSILLUSION : Sentiment ressenti lorsque le superbe postérieur ne coïncide pas avec le visage qui se retourne.
- DIPLOMATE : Celui qui te dit d'aller te faire foutre d'une telle façon que tu as très envie de commencer immédiatement.
- ÉCONOMISTE : Expert qui te dira demain pourquoi ce qu'il a prédit hier n'est pas arrivé aujourd'hui.
- INFORMATICIEN : Celui qui vous résout un problème que vous n'aviez pas, d'une façon que vous ne comprenez pas.
- FACILE : Se dit d'une femme qui a la même morale sexuelle que les hommes.
- MARIAGE : Union qui permet à deux personnes de supporter des choses qu'ils n'auraient pas eu besoin de supporter s'ils étaient restés seuls.
- PARENTS : Deux personnes qui montrent à un enfant à parler et à marcher, pour ensuite lui dire de s'asseoir et de fermer sa gueule.
- TOURISME : Activité consistant à transporter des gens qui seraient mieux chez eux dans des endroits qui seraient mieux sans eux.
samedi, décembre 01, 2007
La règle et l'exception.
La règle veut que les choses nous paraissent plus grande à mesure qu'on s'en approche.
Cette règle admet cependant une exception notable. C'est l'être humain.
Cette règle admet cependant une exception notable. C'est l'être humain.
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