Il ya deux ans, plus d'un million de libanais sont sorties dans les rues et les places de Beyrout pour, entre autre reclamer le départ des troupes syriennes dont la présence au pays du cèdre était devenue dérangeante.
Le 26 ami de la même année, c'était chose faite ( avec l'aide il faut le dire d'un pression franco-américaine insoutenable).
Le Liban ne cesse depuis de traverser des zones de turbulences dont la plus grave aura été la guerre de l'été 2006 (12 juillet, 13 aout) qui a causé des dégats humains et mateiels énormes, et que le hezbobbah prétend avoir gangé (si vous appelez ça une victoire alors à quoi resseble une défaite?).
Aujourd'hui encore le Liban traverse une crise politique majeure qui le menace dans son unité, voire dans son existance et dont le principal acteur est le même hezbollah. C'est peut être le combat de trop du cheikh Nasrallah.
mercredi, mars 14, 2007
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1 commentaire:
"Le Liban ne cesse depuis de traverser des zones de turbulences dont la plus grave aura été la guerre de l'été 2006 (12 juillet, 13 aout) qui a causé des dégats humains et mateiels énormes, et que le hezbobbah prétend avoir gangé (si vous appelez ça une victoire alors à quoi resseble une défaite?)."
Une défaite, ça aurait été de voir des soldats sionistes circuler au liban et contrôler les libannaises aux barrages qu'ils leur auraient dressés comme actuellement en palestine . Une victoire, c'est lorsque le plus faible réussit à repousser le plus fort et garde ainsi sa dignité .
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